Si vous envisagez des projets, si vous avez des choix d’études, faut-il avoir un plan B.
Est-ce une obligation tactique.

Comment planifier de façon imparable.

Nous avons beaucoup entendu cette phrase pendant nos études, tu veux faire quoi, quel est votre second choix, voire même le troisième et plus.

Les personnes qui sont arrivées aux succès, avait-il un plan B, ont-ils réussi comme prévu ou est-ce leur plan B, et quand je parle du succès, je parle de sa réussite personnelle, car tout le monde n’est pas fait pour être un Bill Gates ou Steve Jobs.

Quel est ce secret tant caché dans les plans stratégiques A B ou C ?

Certains le voient comme un plan, moi je dirais que c’est le meilleur moyen pour rater son plan A.

Sun Tzu l’explique dans l’art de la guerre, sa grande technique était, quand il assiégée une ville, il fallait toujours laisser une petite possibilité, un échappatoire pour qu’ils puissent s’échapper.

Vous allez me dire, mais pourquoi ?

Les soldats, quand ils n’ont plus rien à perdre, parce qu’ils vont mourir, se battent avec l’énergie du désespoir et soldat ou une armée dans ce cas-là peut être encore plus fort qu’une armée trois fois plus nombreuses.

Alors que s’il y a une possibilité de s’en sortir, l’engagement n’est plus le même.
Pour en revenir au plan B, c’est la même chose, quand il y a un plan B, alors le combat pour réussir son premier objectif sera moins puissant et pourra même échouer à cause du plan B.

Par contre pour des études rien de n’empêche d’avoir plusieurs établissements qui permettront de suivre sa voie.

Et vous avez-vous un plan B ?